La littérature, c'est dur - surtout le lendemain au réveil
Eurgh.
J'ai assez mal aux cheveux. La sensation de gerbe au fond de la gorge, la tête en coton et les jambes qui vacillent. Je n'ai jamais spécialement aimé les dimanches matins - le reste de la journée non plus d'ailleurs (oui, il est près de midi et demi, et après ? le matin, c'est bien ce que je disais). Et tout ça par la faute de Madame Bovary. Comme quoi certains romans nuisent gravement à la santé et provoquent des états d'éthylisme avancé. Bovarysme et vodkacoca : voilà le résumé de mon samedi soir. Soir allant tout de même dans cette phrase jusqu'à cinq heures du matin bien sonnées.
J'aimerais quand même qu'on m'explique comment du réalisme tout personnel de Flaubert on a pu réussir à faire évoluer le sujet sur le port du Prince Albert et son utilité au quotidien. Et ça, ce n'est que ce dont je me souviens...