Pour ne pas sentir l'horrible fardeau qui brise vos épaules et
Chaleur de début d'été, et les Alcools qui défilent en se mariant avec les compagnons de fiesta auxquels chacun est affilié. Rhum-coca avec Angel, Punch avec Clarissa, Vodka-orange avec la Fille Rousse, et lequel pour définir le goût de la soirée que je vais passer avec Sin ce week-end, qui peut savoir. Je vois beaucoup de filles ces derniers temps, de celles qui sont restées, de celles qui sont peut-être intermittentes mais éternelles, et je ne me débarrasse pas de ce petit goût acide au fond de la bouche. Au réveil, j'aimerai beaucoup que l'on cesse de faire vrombir cette tronçonneuse à trois centimètres de mes tempes douloureuses, et il y a ces réminiscences tout au long de la journée, deux filles qui tournoient de manière démente sur du Madonna, haben wir wirklich es gemacht ? Et lorsque cela ne suffit pas, reste cette stupide habitude que je n'ai jamais perdue d'écrire ivre sur des feuilles quadrillées à retrouver lorsque la tête a fini de tourner.
J'assume dignement ma position d'étudiante ayant terminé ce qui de toute évidence et sans démenti possible a été une année mouvementée, et célèbre donc le fait comme elle peut. Disons-le ainsi.
[il y a des fins de soirées plus difficiles que les miennes. Jus d'orange... vraiment ?]